Une jeune fille timide et bloquée découvre le plaisir de la jouissance

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il y a 4 ans
Elle cherchait à faire des rencontres autour de la fessée

Il avait dit pas de sexe et que je ne verrai pas le sien. Il n’a pas menti, mais ce fut pire question intimité. Je n’étais jamais arrivée à jouir. J’avais pris du plaisir avec mes rares amants, mais je n’avais jamais joui. Comment suis-je arrivée à lui parler de ça ?

Comment suis-je arrivée à lui parler de mon intimité alors que je suis timide ?

C’est de sa faute, car lors d’une discussion téléphonique pour la certification, nos discussions ont dérapé sur plein de sujets. Nous parlions de musique, ce cinéma, j’étais en totale confiance.

Avec lui, on pouvait parler de tout, la fessée n’était pas le centre de sa vie. Si je parle de « fessée » c’est parce que je cherchais un fesseur sur Fessestivites. Nos discussions ont migré ensuite sur le BDSM que je ne connais pas vraiment, hormis ce que l’on voit sur le net. Il m’a expliquée que cela n’a rien de barbare ou brutal, qu’en fait c’est de l’Amour abordé autrement. Et puis il m’a donnée comme exemple, les jouissances à répétition qu’il aimait imposer à ses soumises. ET là j’ai répondu : elles ont de la chance, moi je n’ai jamais joui ».

Il était étonné, presque choqué voir attristé que je ne connaisse pas la jouissance.

Je n’ai absolument pas senti de perversion dans la discussion qui a suivi. Il m’a tiré les vers du nez en me parlant des autres filles dont il attachait les jambes pour ne pas prendre de coups de pieds quand elles jouissent. Je ne comprenais pas pourquoi elles pouvaient lui donner des coups de pieds quand il leur donnait du plaisir. Alors il m’a expliquée que les jouissances sont si puissantes, que les filles ne se contrôlent pas et peuvent lancer leurs jambes dans tous les sens.

Je l’ai cru sur parole car il était évident dans ses propos qu’il était sincère. Cela m’a faite rêver et cela, bien après notre conversation. Du coup, je lui ai redemandé s’il voulait bien m’expliquer le « pourquoi » moi je n’arrivais pas à jouir. Il m’a parlée de « lâcher prise », pour moi, ce n’était pas clair. Alors je lui ai demandé si cela ne le dérangerait pas de m’appeler pour expliquer de vive voix.

Pour la certification, il m’avait dit qu’il ne me rappellerait pas et ne garderait pas mon numéro de téléphone. Il a respecté sa promesse et c’est moi qui suis revenue vers lui. Gag, j’ai même été obligée de lui redonner mon numéro de téléphone. Lui au moins, il n’était pas « pot de colle ». Et puis, dans ses explications sur le « lâcher prise » il m’a proposée d’aller chez lui pour essayer. C’est là qu’il m’a promise qu’il n’y aurait pas de sexe et que je ne verrai pas le sien.

Je n’osais pas aller chez lui. Mais j’avais envie de connaître la jouissance. Comme aucun de mes amants n’était arrivé à m’y emmener et que lui seul semblait pouvoir le faire et d’après lui « me débloquer », j’ai fini par le contacter en lui disant que si sa proposition tenait toujours, je voulais bien essayer.

L’horreur absolue !

L’horreur absolue pour moi, la grande timide car je savais pertinemment que j’allais devoir faire voir mon intimité à quelqu’un que je n’avais jamais rencontré. A quelqu’un qui ne me draguait pas, qui ne voulait pas de moi en temps que femme ou soumise. Je savais qu’il ne mentait pas sur ce sujet puisqu’il m’avait proposée de me recevoir en présence de sa femme si cela me rassurait. Rien que de penser qu’il y aurait une autre personne qui assisterait à CA... me bloquait encore plus. J’ai donc préférée être seule avec lui.

LE JOUR J

Tout le long du chemin, je me suis traitée de tous les noms d’oiseaux, de folle bonne pour la psychiatrie. J’ai même failli rester dans le train.

Il fallait quand même oser, à 22 ans, aller chez un vieux de 55 ans. Qui plus est, habitant dans une maison isolée en pleine nature, et cela, pour aller se mettre nue jambes écartées puis se laisser attacher pour qu’il triture votre sexe. Reconnaissez qu’il fallait être folle !

Son sourire, sa voix calme et posée puis son humour m’ont un peu décontractée. Il m’a offert un verre et j’ai répondu « un whisky coca pour me donner du courage ». Le Maître a éclaté de rire en me disant que je n’étais pas au bagne. Il a à nouveau promis que je ne verrai pas son sexe, qu’il ne me v i o l e r a i t pas et que je n’aurai pas mal, bien au contraire....

D’un seul coup, il m’a gentiment attrapée par la main pour me guider vers la pièce où j’allais être « disséquée ». Il m’a proposée d’aller un faire un pipi avant. Ce n’était pas la peine, je l’avais fait dans le train ..... pour ne pas le faire chez lui. MDR, encore un paradoxe de grande timide ! ! !

Je me suis allongée encore vêtue sur sa « cage » et je me suis laissée dévêtir le haut puis entraver les mains. Pour m’aider à me décontracter « lâcher prise », expression répétée au moins 12 fois, il m’a bandée les yeux et a mis de la musique. Puis, sans même retirer mon pantalon, avec son magic wand massager, il a commencé à m’exciter en le faisant passer sur moi dans des endroits stratégiques..... Mes cuisses, puis mes seins, puis au dessus de mon chaton affolé ont eu droit à une première visite. C’est là que des fourmis ont commencé à envahir mon bas ventre. Le Maître prenait son temps, le temps aussi de me laisser me décontracter.

Quand il m’a indiqué qu’il allait finir de me dévêtir, j’ai refusé. Il s’est immédiatement arrêté. Nous avons négocie, enfin, il a négocié avec ma timidité en lui disant que c’était dommage de louper l’occasion de découvrir le plaisir de jouir. J’ai fini par répondre « oui, allez-y ». Ce vouvoiement était aussi un paradoxe, mais j’étais dans le même état d’esprit que si j’étais chez un gynécologue !

Une fois mon pantalon et ma culotte « sage » retirée, la fille pas sage et totalement folle s’est laissée attacher les jambes et cuisses bien écartées. La vivisection pouvait commencer, la grenouille s’était offerte au scalpel.

Une goûte de gel froid sur mon sexe m’a faite bondir, il a juste dit « chut, on se calme, tout va bien ». A l’aide de son magic wand massager il a commencé à traumatiser toute mon intimité. Je voulais serrer les jambes de peur, ses entraves me l’interdisaient. Je m’attendais à ce qu’il me mette un doigt ou deux, il n’en a rien fait. Il s’acharnait simplement à me « chauffer » avec sa baguette magique. Il a posé sa main sur mon ventre, comme pour tirer ma peau vers le haut. Sur le coup je n’ai pas compris pourquoi. En fait, il venait de faire sortir mon clitoris de son écrin protecteur. Privé de sa défense naturelle, il n’a pas pu échapper au contact direct du magic wand massager. Et là, j’ai crié.

J’ai crié mais pas de douleur, de surprise, d’une agréable surprise. Cela vibrait « l’enfer ». Tirer sur mes entraves comme pour fuir, me libérait un peu. Me libérait un peu de ma honte. Je n’étais plus consentante pour me laisser agréablement toucher ! Non, c’était lui le sadique qui me l’imposait. Je ne pouvais pas lui échapper, je ne pouvais que « subir » ce plaisir que je découvrais.

Si c’était divinement bon, l’explosion des sens décrite ne venait toujours pas. Quand il s’est arrêté un instant, j’ai cru qu’il abandonnait, que c’était un échec. J’ai cru ensuite qu’il était juste allé monter le son, mais NON, ce sadique en avait surtout profité pour prendre d’autres accessoires de pervers. Je l’ai compris quand il a titillé l’entrée de mon chaton avec un deuxième truc vibrant, et cela, en même temps qu’il jouait avec mon clitoris.

Quand le grenouille s’est faite « empaler » par un vibromasseur, elle est montée d’un cran dans le plaisir « honteux ». Je me tordais dans tous les sens, je griffais sa cage, je me mordais les lèvres, c’était vraiment très, très bon, mais je n’arrivais pas à la fameuse explosion attendue. Le Maître était patient, tenace pour ne pas dire têtu.

Ce que je vais vous raconter peut paraître illogique mais c’est vrai ! Il a mis un oeuf dans mes fesses et je l’ai à peine senti passer ! Je l’ai senti que quand il a glissé en moi. Cette fois, la grenouille était perdue. Même son cul venait d’être possédé par le Maître démon !

Les trois trucs vibrants, me rendaient folle de plaisir. Et puis d’un coup, j’ai senti venir en moi une sorte de « chaleur ». Elle m’envahissait totalement, je n’arrivais plus à respirer, tous mes muscles se sont tendus, même mes dents ne se desserraient pas pour lui dire que quelque chose n’allait pas. Et puis, il y a eu comme une explosion en moi !

Explosion ou implosion, je ne sais pas. Mon corps c’est mis à convulser et j’ai hurlé. Je convulsais sans plus rien comprendre, sans qu’il continue de jouer avec moi, seul le truc que j’avais dans les fesses continuait de vibrer.

  • Bienvenue dans le monde de la jouissance ! A dit le Maître en caressant mon visage du bout des doigts. Avant de dire ON Y RETOURNE ! ! !

Là j’ai crié « non, stop », il ne m’a pas écoutée. Il a relogé le vibro dans mon chaton, avant de poser le magic wand massager sur mon clitoris tout en s’appuyant sur moi pour que je ne bouge pas trop. C’était trop fort, j’ai crié « stop » plusieurs fois, et puis je n’ai plus rien crié du tout ! La chaleur revenait dans moi. Mes jambes se sont mises à tirer très fort sur les entraves, encore une fois, tous mes muscles se sont contractés, ma respiration s’est arrêtée et j’ai à nouveau implosé. Tout mon corps échappait à mon contrôle.

Cette fois, il n’a pas arrêté ses jouets. Le Maître s’est encore acharné sur la grenouille qui jouissait « non stop » en se débattant. Il n’y a pas de mot pour décrire ce moment de folie des sens, du corps, de la tête.

Il soudain arrêté tous ces jouets de malade. Je n’étais plus une grenouille lessivée, crevé en exténuée et en larmes.

Je pleurais comme une madeleine sans même savoir pourquoi je pleurais.

Il m’a détachée mais a refusé que je retire le bandeau. Quand il m’a prise dans ses bras je m’y suis blottie en continuant de pleurer. Il caressait ma tête comme un papa consolant son bébé. Sa voix douce me disait de respirer, de me clamer, que tout allait bien, que j’avais été géniale, que .... Il m’a ensuite repoussée doucement pour que je me rallonge, en me disant que j’avais besoin de repos avant de me couvrir pour pas que je n’ai froid. Mes larmes ont mis du temps à se tarir. Je me suis mise en « chien de fusil » sur sa cage comme pour me protéger.

Un moment plus tard, j’ai retiré mon bandeau et je l’ai vu. Il était tranquille, assis sur le fauteuil de son ordinateur et me sourirait.

  • Le « vainqueur » a gagné la bataille contre la timide bloquée !

Quand je lui ai dit ça, il m’a répondue que c’est moi qui avait gagné. Il a dit que lui n’avait été que le guide, que c’est moi qui avait eu le courage de faire le chemin pour venir à lui, puis d’oser vivre l’abandon avec son aide.

Nous avons parlé des moments où tout mon corps échappait à mon contrôle. En fait, j’ai compris que c’était quand il m’a obligée à lâcher prise que la jouissance est arrivée. Si je n’avais pas été attachée, je n’aurai pas pu me libérer de ces carcans de la timidité et de mon incapacité à m’abandonner. Là, je n’avais pas eu le choix.

Lorsque il m’a autorisée à me lever, j’ai vu que sa cage était trempée. Il m’a avoué que j’avais fait « fontaine » lors de ma première jouissance. Il avait beau me dire que c’était génial, j’avais honte. Pour moi j’avais pissé sur sa cage. Pour lui c’était génial de pouvoir jouir à ce point là. Une douche, il me fallait prendre une douche pour me laver de tout ça. Il m’a guidée jusqu’à la salle de bain mais a tenu à rester un peu au cas où je n’irai pas bien. Il avait peur que je tombe.

Il s’est moqué de ma pudeur, il n’avait pas tord en disant que mon sexe il le connaissait à présent... Quand il a vu que j’allais bien, il m’a laissée tranquille et m’a juste rappelée que j’avais un truc dans les fesses. Qu’il serait bien que je le retire ! (Non, non, je n’ai pas eu un peu honte... juste un peu très beaucoup)

Le soir même, il me donnait une gentille fessée à la main, avant de me faire découvrir son duo de cravache musicale. Trop bon ! ! ! Ca pique un peu mais c’est trop bon.

Le dodo !

Il m’a proposée de dormir dans une des chambres situées de l’autre côté de la terrasse. J’avais peur d’être seule là bas. Alors il m’a proposée son lit en tout bien tout honneur. Encore une fois, il a tenu sa promesse, je n’ai pas vu son sexe. Par contre, qu’est-ce que j’étais bien blottie dans ses bras.....

Le lendemain, quitter les lieux pour aller reprendre le train a été difficile pour mon moral.

Fin

TSM

Cette histoire érotique n’est pas totalement le fruit de mon imagination. Elle s’est déroulée il y a trois ou quatre ans. Je l’ai juste romancée mais elle a eu lieu.

Je remercie la jeune fille de la confiance qu’elle m’a donnée. Je sais qu’elle a trouvé un Maître résidant dans la région et depuis, je n’ai plus de nouvelle.

Je caresse l’espoir qu’elle est heureuse. Si elle se reconnaît dans cette histoire, qu’elle n’hésite pas à me faire un petit coucou ou à m’envoyer un texto pour me donner de ses nouvelles.

Un ARTICLE pour aider les femmes qui ne jouissent quasiment jamais ou pas

Cette histoire me laisse espérer qu'un jour un maitre m'offre des orgasmes multiples la timidité je connais, la difficulté a lacher prise aussi Bravo a elle en tous les cas
Merci TSM pour cette délicieuse histoire et ce partage d'expérience
J adore cette histoire , j aurai demandé une couche pour la nuit pour dormir tranquille et que se monsieur me raconte une histoire, et j aurai bien dormi dans la chambre toute seule dans le petit lit avec une petite lumière et mon doudou et ma sucette....
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